DISPARITION D'UN AVION D'EGYPTAIR AU DESSUS DE LA MEDITERRANNEE

http://actu.orange.fr/france/vol-egyptair-disparu-30-egyptiens-et-15-francais-a-bord-CNT000000oP0Ue.html

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DISPARITION D'UN AVION D'EGYPTAIR AU DESSUS DE LA MEDITERRANNEE Pa5qIS

Je pige pas la disparition au dessus de la méditerrannée !!! sa trace radar se perd au dessus de l'Egypte !!!
DISPARITION D'UN AVION D'EGYPTAIR AU DESSUS DE LA MEDITERRANNEE 36NM75

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http://actu.orange.fr/france/l-avion-egyptair-paris-le-caire-s-est-ecrase-au-large-d-une-ile-grecque-CNT000000oPxTZ.html

Messages : 859 Date d'inscription : 20/10/2011 Age : 42 Localisation : nantes

On est plus sur cette image radar Wink

DISPARITION D'UN AVION D'EGYPTAIR AU DESSUS DE LA MEDITERRANNEE BF6GsP

pas de messages de détresse apparemment.
pas de chute sur le radar (ce qu'on en voit en tout cas)
bombe?
bizzare sur un vol en provenance de Paris, sauf qu'il arrivait du Caire.
Y-a-t'il un contrôle sécu intérieur de l'avion entre deux rotations?
je penche quand même pour la version attentat.

Deux virages brutaux avant de perdre 22 000 pieds
tentative du pilote pour compenser une explosion à l'arrière qui ferait perdre la dérive?
http://actu.orange.fr/france/crash-egyptair-l-avion-a-chute-de-22-000-pieds-et-vire-brutalement-CNT000000oQ8k7.html

http://actu.orange.fr/france/crash-egyptair-des-debris-localises-au-large-de-la-crete-CNT000000oQnz7.html

un avion français (falcon 50?) sur zone
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On a des pécédents dans les fumées dans le cokpit, avec dans les deux cas la perte des avions, le vol swiss air 111, un MD11 avec 229 personnes à bord le 2 septembre 1998, le vol UPS, un B744, le 3 septembre 2010 à Dubaï. Dans les deux cas, les pilotes avaient émis des messages de détresse. Depuis, la procédure est connue.. Je trouve donc cela assez bizzare quand même scratch

http://actu.orange.fr/france/avion-egyptair-le-bea-francais-confirme-des-messages-automatiques-de-l-avion-indiquant-de-la-fumee-a-bord-CNT000000oWCT9.html

Messages : 784 Date d'inscription : 20/04/2015 Age : 45 Localisation : Nantes

MARTINEAU Bertrand a écrit:: On a des pécédents dans les fumées dans le cokpit, avec dans les deux cas la perte des avions, le vol swiss air 111, un MD11 avec 229 personnes à bord le 2 septembre 1998, le vol UPS, un B744, le 3 septembre 2010 à Dubaï. Dans les deux cas, les pilotes avaient émis des messages de détresse. Depuis, la procédure est connue.. Je trouve donc cela assez bizzare quand même

Vol fumeur ? lol!

Messages : 784 Date d'inscription : 20/04/2015 Age : 45 Localisation : Nantes

EgyptAir : un incendie à bord juste avant le crash
Le BEA confirme que l'Airbus A320 a envoyé des messages automatiques signalant de la fumée. Incident technique ou bombe, la question demeure.

Thierry Vigoureux

C'est une information cruciale pour comprendre ce qui a entraîné le crash du vol MS804 d'EgyptAir. L'Airbus A320 qui s'est abîmé jeudi en Méditerranée avec 66 personnes à bord a envoyé des messages automatiques signalant de la fumée près du cockpit de l'appareil. L'information a été rapportée vendredi par des médias américains. Si l'Égypte a refusé de la confirmer ou de la démentir, samedi matin, à Paris, le BEA, lui, l'a confirmée. Il y a donc eu un incendie à bord. Mais la cause de celui-ci reste inconnue et ne pourra être élucidée que grâce aux boîtes noires. Mais si la thèse de l'attentat semblait privilégiée jusque là, celle de l'incident technique n'est pas à écartée loin de là. Car trois jours après le crash, aucune revendication n'a eu lieu.

Selon les messages émis par l'appareil, « une fumée intense a déclenché des alarmes dans la partie avant de l'appareil, où sont situées des parties vitales de son électronique de bord », selon le Wall Street Journal, qui cite des sources proches de l'enquête non identifiées. « Les messages d'erreur durent environ deux minutes, alertant l'équipage au sujet de fumée détectée dans des toilettes et un compartiment » situé sous le plancher du cockpit de l'avion, selon le Wall Street Journal. « Ce compartiment contient une partie cruciale de l'ordinateur de contrôle de vol » de l'appareil qui, selon les messages, s'est mis « à mal fonctionner », a poursuivi le quotidien, relevant que ces indications « ne sont pas suffisantes pour déterminer si l'avion a été victime d'une bombe ou d'autres causes inexpliquées ».

« De la fumée en cabine »

« Il y avait des alertes à la fumée à bord du vol MS804 d'EgyptAir dans les minutes avant qu'il ne s'écrase en Méditerranée », a indiqué de son côté CNN, indiquant avoir obtenu ces informations d'une capture d'écran fournie par une source égyptienne. Elle a précisé que ces messages d'alerte avaient été envoyés « via le système ACARS », qui permet d'échanger des informations entre un avion en vol et le centre opérationnel de la compagnie aérienne. À Paris, le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA), qui a dépêché trois enquêteurs en Égypte, a confirmé samedi qu'il y avait eu des « messages ACARS émis par l'avion indiquant qu'il y a eu de la fumée en cabine peu avant la rupture des transmissions de données ».

Plus précisément, sur un avion moderne comme l'A320, outre les boîtes noires, un troisième enregistreur – QAR, Quick Access Recorder – saisit les données qui pourront aider ensuite à gérer la maintenance de l'avion. La plupart des compagnies connectent ce QAR à l'ACARS, Aircraft Communication Addressing and Reporting System qui transmet automatiquement par radio ces données au centre de maintenance au sol. Ainsi, une panne connue pourra être réparée plus vite lors de l'escale. On se souvient que lors de l'accident du Rio-Paris des messages ACARS avaient fait part du givrage des sondes Pitot avant le décrochage fatal de l'A330 d'Air France. Depuis, les autorités internationales ont recommandé aux compagnies aériennes de généraliser ces communications de données automatiques dès qu'une anomalie apparaît à bord de l'avion.
Questions encore sans réponses

L'ACARS du MS804 a donc envoyé des alertes « détection de fumée », émises semble-t-il par des capteurs situés à l'avant de l'appareil. En l'absence de précisions, il peut s'agir des toilettes, du cockpit ou encore de cette fameuse soute électronique où sont rassemblés de nombreux systèmes de vol. De même, on ne peut savoir à ce stade s'il s'agit d'une défaillance technique ou de l'acte malveillant d'activation d'une bombe. Le BEA ajoute d'ailleurs ce samedi : « Il est beaucoup trop tôt pour interpréter et comprendre les causes de l'accident tant que nous n'avons retrouvé ni l'épave ni les enregistreurs de vol. »

Selon Philip Baum, un spécialiste de l'aéronautique cité par la BBC, « les instruments de l'appareil se sont éteints ». « Tout cela commence à montrer qu'il ne s'agissait probablement pas d'un détournement, qu'il n'y a probablement pas eu de bagarre dans le cockpit, qu'il s'agit probablement d'un incendie à bord. Maintenant, qu'il s'agisse d'un feu d'origine technique, un court-circuit, ou d'une bombe qui a explosé à bord, nous ne le savons pas », a-t-il jugé. La bombe qui avait explosé à bord du charter russe le 31 octobre 2015 avait désintégré instantanément l'avion, provoquant ce que des experts avaient qualifié de « dépressurisation explosive » en raison de la très haute altitude du vol à ce moment-là, environ 11 kilomètres, et ne laissant aucune chance au pilote d'émettre un message de détresse.

On ne connaît pas non plus à quelle heure le signal a été envoyé, cette information étant encore cachée par EgyptAir. Ces alarmes, qui sont obligatoirement apparues aux pilotes dans le cockpit, se sont vraisemblablement manifestées après le dernier contact radio, à 2 h 26 (heure de Paris), avec le centre de contrôle grec dont l'avion quittait l'espace. Lors de cet ultime contact, l'équipage semblait serein. Le vol MS804 a brusquement disparu des écrans radars alors qu'il survolait, sans problème apparent et dans un ciel clair, la Méditerranée orientale. L'avion transportait 66 personnes, parmi lesquelles notamment 30 Égyptiens et 15 Français. Des sièges d'avion et des valises ont été repêchés vendredi au large des côtes égyptiennes.

À l'aéroport, le refus des liquides même en petite quantité lors des contrôles de sûreté et, en général, l'interdiction des produits pâteux (comme des fromages) peuvent agacer. Mais il se trouve que ces produits d'aspect bien inoffensif peuvent être les composants d'un explosif. Les prohiber à bord est justifié par la vulnérabilité d'un avion face à l'explosion d'une bombe de très faible puissance.

Les constructeurs comme Airbus et Boeing ont fait des calculs de résistance et des tests. Ils montrent qu'un engin explosif de la taille d'une balle de golf est capable de détruire un avion...

Messages : 493 Date d'inscription : 16/12/2009

La décompression explosive
Pour les poumons = Lorsque la pression s’effondre rapidement en cabine, l’air contenu dans les poumons se trouve alors en
surpression, Il ne peut s’évacuer que par la trachée en un temps d’autant plus court que la décompression est
violente. Les alvéoles pulmonaires risquent alors d’éclater en entraînant une détresse respiratoire suraiguë.

Conséquences d’une décompression explosive ?
Dans la cabine :
-souffle pouvant projeter ou éjecter du matériel et des hommes ;
-production immédiate d’un intense brouillard, conséquence de la production de vapeur d’eau sous
l’effet de la détente ;
- apparition dans la cabine d’un froid glacé

Oui cela n'est pas un feu, mais un brouillard.

Texte tiré des cours du BIA-aeromedecine.

Messages : 493 Date d'inscription : 16/12/2009

the slick was at 33°32' N / 29°13' E – about 40 km southeast of the last known location of the aircraft. The slick is about 2 km long.
DISPARITION D'UN AVION D'EGYPTAIR AU DESSUS DE LA MEDITERRANNEE Closer_view_of_slick_node_full_image_2

DISPARITION D'UN AVION D'EGYPTAIR AU DESSUS DE LA MEDITERRANNEE Closer_view_of_slick_node_full_image_2

http://actu.orange.fr/societe/fait-divers/crash-egyptair-l-analyse-des-corps-relance-la-these-de-l-explosion-leparisien-CNT000000p5wQc.html

La règle concernant les 100 ml de liquide en cabine est inutile sachant que beaucoup d'explosifs (nitroglycérine par ex) peuvent détruire un avion en vol avec des quantités moindre

le problème n'est-il pas plutôt dans le personnel des aéroports ici et ailleurs.
Le niveau de contrôle est-il aussi élévé que pour les passagers ?

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